lundi 26 mars 2012

Leïla : née le 27 mars 1970 et morte le 10 juin 2001

A comme arts
Extraits du livre "Mémoire" de Farah Pahlavi :
Elle ne se plaisait pas à l’université et comme elle était très attirée par la poésie, la littérature, la musique, j’essayais de la convaincre qu’elle avait le droit d’écouter ses préférences, d’abandonner l’université et de se diriger vers les arts.

A comme amis
Extraits du livre "Mémoire" de Farah Pahlavi :
Elle était entière, émouvante, généreuse, de sorte qu’avec ses amis, elle donnait également beaucoup. C’était elle qu’on appelait pour entendre des paroles d’encouragement, elle qu’on sollicitait quand ça n’allait plus. Elle arrivait toujours les bras chargés de fleurs ou de cadeaux…

F comme Ferdowsi
Extraits du livre "Mémoire" de Farah Pahlavi :
A un moment, elle eut l’idée de réaliser un dessin animé à partir de certaines histoires de Ferdowsi qu’elle aimait beaucoup. 
I comme Iran
extrait du livre « Mon père, mon frère, les Shahs d’Iran » de Gholam-Reza Pahlavi
Leila était une boule de feu quand elle parlait de l’iran. Son amour pour son pays était immense, sans limite. Il jaillissait du plus profond d’elle-même, incontrôlable. .../... 
Toute critique injuste la révoltait jusqu’au plus profond d’elle-même. Tout mensonge lui était insupportable. 
La princesse Leila était une écorchée vive. Tout son être souffrait. Plus les années passaient et plus elle était vulnérable.

Extraits du livre "Mémoire" de Farah Pahlavi :
Elle avait pour l’Iran un amour exclusif, patriotique, qui se confondait dans son coeur avec l’amour qu’elle éprouvait pour son père. Cela la conduisait à répondre avec une grande passion à tous ceux qui critiquaient devant elle le bilan de son règne. Je me souviens combien ces discussions l’enflammaient mais l’épuisaient aussi. C’était difficile, pour elle qui avait quitté l’Iran petite fille, qui était si jeune encore, d’argumenter inlassablement avec des gens plus âgés, et parfois très agressifs ou amers.

M comme mort
Extraits du livre "Mémoire" de Farah Pahlavi :
Depuis la perte de son père, alors qu’elle n’avait que dix ans, elle était constamment préoccupée par la mort. 

P comme persan
Extraits du livre "Mémoire" de Farah Pahlavi :
L’école de Leila proposa spontanément d’intégrer le persan dans son cursus scolaire, alors qu’évidemment le persan n’y était pas enseigné.

P comme poésie 
extrait du livre « Mon père, mon frère, les Shahs d’Iran » de Gholam-Reza Pahlavi
Leila était passionnée de poésie persane. Cette poésie - je le dis pour ceux qui ne la connaissent pas - est source d’une énergie inépuisable. 
Elle est aussi un comba, celui de la culture, de la défense de nos valeurs contre l’envahisseur, qu’il soit de l’extérieur, grec, arabe, mongol ou turc, ou même de l’intérieur, comme c’est le cas de la République islamique. Ceux qui ne sont pas iraniens ne peuvent pas imaginer ce que la poésie représente pour nous. Elle est notre fierté, elle est notre identité, elle est l’essence de nos valeurs. La princesse Leila en avait une connaissance aiguë. Nous avions de longues conversations sur le sujet et je me rappelle la passion avec laquelle elle soulignait les finesses de tel ou tel vers, la joie avec laquelle elle nous parlait des poètes contemporains que nous connaissions moins.

R comme Rumi



R comme roses
Les fleurs préférées de Leïla sont les roses blanches

10 juin 2012 / 00:16






V comme Vidéo 

http://www.empressfarahpahlavi.org/media-gallery/video-gallery?wid=48


Y comme Youtube


10 juin 2012 

http://www.youtube.com/watch?v=1nd1BIWrJlk